Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/172

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Les vestiges des très antiques désarrois…
Ainsi l’œil – plein d’anciens rêves dont il s’oxyde,
Plein de passé dont pour toujours il est imbu,
Souvenirs conservés dans ses pierres charnelles
Que, pareil à l’agate, il agglomère en elles…
Ah ! tout ce qui survit sous son cristal embu !