Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/176

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Devenue une brise, un parfum, une flamme,
Une fleur, tout au plus un vierge nénuphar
Que, sans savoir son âge ou s’il pèse, l’eau porte…
Ainsi mon âme, en l’eau des yeux noyant son fard,
Toute fraîche, croit qu’elle a fini d’être morte !