Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/196

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A versé sur leur plaque inerte ses acides,
Et l’homme endormi voit par delà sa maison !

Mais au réveil ce tain spirituel dégèle,
Il fond ; et l’œil déclos n’est plus qu’un miroir frêle,
Miroir quotidien et borné dont le tain
Est suffisant aux fins de la vie ordinaire ;
Œil sorti du sommeil et qui ne mire guère
Que les chambres et les seuls arbres du jardin.