Page:Rodenbach - Les Vies encloses, 1896.djvu/80

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

De flamme horizontale et dont l’ombre s’évente.
Dans les vitraux foncés, s’est amarré le soir ;
Translucide tantôt, leur verre est presque noir,
Bassins d’une eau froidie et qui se désargente !
Volupté de cette ombre et de subodorer
La maladive odeur des églises : bougies,
Encens fané, nappes du culte défraîchies,
Et les cires qui sont mortes de se pleurer !