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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/116

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PALMIRA.

ron ose jeter les yeux sur la petite fille du concierge de milord duc de Sunderland.

« Quand Clara, avec son ingénuité, fait de pareilles réflexions, je souris d’abord, et, bientôt après, je pleure avec elle ; mais, mon frère, il faudra tâcher de tout assortir, et de rendre heureuse ma gentille Clara et son bon James. C’est lui qui se charge de porter à trois lieues d’ici les lettres que je vous écrirai. Je descends bien souvent dans la forêt au milieu de laquelle est située la cabane de son vieux père. Je m’y repose de ces courses forcées que je me plais à entreprendre, afin de calmer les agitations de mon ame.