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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/117

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PALMIRA.

« Adieu, Edward ; adieu, Anna ; puisse votre prospérité égaler ma tendresse pour vous ! Répandez le calme et le plaisir sur l’existence de milord et miladi Sunderland, troublés parfois, j’en suis certaine, du malheur de leur fille. Adoucissez le cœur de notre Mortymer ; ayez bien soin de me dire si M. de Saint-Ange est courroucé contre moi ; engagez-le à me plaindre, et non à m’accuser. Assurez l’honnête monsieur Akinson et mistriss Hovard que je ne les oublie pas. Adressez votre réponse, poste restante, à James Burlow.

« À … Il y va tous les mercredis et les dimanches. »

Je remarquai qu’après la lecture