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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/131

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PALMIRA.

pondu : Puisque vous êtes des amis de notre belle ladi, vous pouvez vous fier à moi et à ma discrétion.

Il me parla du duc et de la duchesse, m’assura que, si milord Spinbrook n’était pas près d’eux, ils pourraient céder à l’éloignement que je manifestais contre leurs intentions.

Sir Edward et sa femme, se déclarant toujours mes défenseurs, étaient très-froidement avec les Spinbrook. Mortymer continuait de soutenir ces derniers avec le même acharnement. Hélas ! répondis-je à de tels détails, j’ai semé la division et le mécontentement dans une famille, il y a quelque temps encore, paisible et unie. Chère ladi Élisa, reprit tristement Saint-Ange, votre