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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/156

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PALMIRA.

Combien elle fut touchée de me revoir ! Elle m’apprit que James, effrayé de la colère de mon frère et de celle d’Hirvan, avait été obligé de quitter la contrée ; qu’un de ses cousins lui en avait donné des nouvelles, et qu’il lui avait fait dire qu’il regretterait toute sa vie sa forêt et sa Clara.