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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/179

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PALMIRA.

son père, à être une riche et noble héritière, de l’élever comme Palmira, et de faire naître en elles une affection de sœurs, en leur persuadant qu’elles l’étaient véritablement.

Les espérances et le courage d’Edward échouèrent cependant contre notre dernier adieu. Il abandonna son injuste patrie, changea de nom, et voyagea en Europe, sans avoir le dessein de se fixer nulle part.

Moi, je me retirai d’abord chez James Burlow et sa femme qui, depuis un an, avaient formé un petit établissement, qui prospérait, dans la ville la plus prochaine de Rosemont-Hill, qu’il fallait bien quitter, puisqu’il était compris dans la confiscation des biens. Akinson, toujours dé-