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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/180

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PALMIRA.

voué à ce qui porte le nom de Sunderland, me chercha un nouvel asile dans une province éloignée ; il le trouva sur les frontières d’Écosse, parmi des bonnes gens. Voulant y être inconnue, je pris le nom de madame Harville. Quelques infirmités de mistriss Hovard l’empêchèrent de me suivre. Elle resta chez les Burlow.

À vingt milles de Rosemont-Hill, Akinson remit dans mes bras, pour n’en jamais sortir, ma chère Palmira ; et, d’après les volontés de mon frère, le même jour, Simplicia me fut aussi confiée. Intéressantes créatures ! une si tendre enfance, leur ravissante figure, auraient obtenu la protection du plus simple étranger.