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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/19

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PALMIRA.

blons pas notre paisible existence. Bon soir, ma chère Palmira : aussitôt Simplicia se retira. Les craintes de sa sœur l’avaient un peu alarmée ; néanmoins elle s’endormit profondément, et se réveilla aussi calme, aussi gaie que de coutume.