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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/215

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PALMIRA.

vous, et moi je veillerai à votre place avec mistriss Riwers. Palmira y consentit, sentant qu’elle en avait véritablement besoin.

Sir Abel la conduisit sur un balcon attenant à la salle. Je vous remercie de vos soins, lui dit-elle ; j’en éprouve déjà d’heureux effets ; je me trouve beaucoup mieux. — Puissent-ils toujours vous être salutaires et agréables ! Croyez, miss, que c’est une des plus douces espérances du sort qui m’est réservé. Palmira, confondue de la vivacité avec laquelle il avait prononcé ces paroles, répondit : Vous êtes bien bon, réellement trop bon, de prendre tant d’intérêt à l’amie de ladi Simplicia. — Cet intérêt, comme il fut prompt, comme il par-