Aller au contenu

Page:Roland - Palmira, 1801, tome 1.djvu/40

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
36
PALMIRA.

aujourd’hui. J’espère, ajouta-t-elle, que vos ames, moins fatiguées, supporteront avec courage et dignité les différentes épreuves qui vous sont réservées… Ma pauvre Palmira, si vous saviez combien vous m’êtes chère !… Mon aimable Simplicia, le sort est juste envers vous… Adieu, mes enfans, adieu. Elles se retirèrent également rêveuses, préoccupées ; et leur conversation ordinaire n’eut pas lieu.