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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/112

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PALMIRA.

loureux adieux à Palmira, à ladi Élisa, il s’arracha d’auprès d’elles.

Milord le suivit. En rentrant dans l’appartement de ce dernier, ils y trouvèrent madame de Mircour, qui, avec un extrême embarras, venait prévenir milord qu’elle partait à l’instant même. Elle ne put s’empêcher de remercier ce noble et généreux hôte de tous ses procédés envers elle et son fils. Il lui répondit froidement ; mais il embrassa Charles avec une vive affection. Celui-ci, que la présence de sa mère ne contraignait pas, jura constance et amour à Palmira, même inflexible.

Suivez-moi, dit madame de Mircour avec humeur, je ne puis différer davantage. — Oui, madame, par-