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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/160

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PALMIRA.

Harville méditant l’exécution de ses projets, et suivons les habitans du château de Sunderland dans leur retour à Londres.

Sir Abel était parti douze heures à-peu-près avant milord et sa fille : son père était à Windsor. Il trouva ladi Mathilde seule. Une confiance entière les unissant, il lui communiqua les sujets de son trouble, de ses peines profondes, et la consulta sur les moyens de quitter l’Angleterre, en évitant l’éclat, et sur-tout le courroux de milord Alvimar.

Mathilde plaignit miss Harville, et regrettait vivement ladi Simplicia. Il ne faut pas, dit-elle, apprendre, vous présent, une si malheureuse rupture à mon père, ses reproches