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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/166

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CHAPITRE XXI.




Peu de jours après cet arrangement, Abel fut faire ses adieux à milord Sunderland. Ils étaient extrêmement mal à leur aise tous les deux. Ce dernier finit par lui dire qu’il se trouvait satisfait d’avoir pu lui éviter l’aspect d’un père courroucé ; mais qu’incessamment, cédant à la volonté de la raison et à celle de sa fille, il déclarerait la rupture, afin d’assurer une mutuelle liberté aux deux familles.

Sir Abel baissa les yeux, en répondant : Heureux qui méritera et obtiendra la main de ladi Simplicia !