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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/202

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PALMIRA.

riches, Dieu merci, pour bien recevoir le petit qui va venir, et ceux qui le suivront, j’espère ; mais, ajouta-t-elle en relevant ses longues paupières noires de dessus son ouvrage, nous avons éprouvé bien des traverses ; et, si cela pouvait intéresser mademoiselle, je lui conterais mon histoire. — Je l’écouterai avec bien du plaisir. Alors, Louise serrant dans une corbeille le petit béguin auquel elle travaillait, commença ainsi :