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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 2.djvu/58

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PALMIRA.

ment, plaisantant même d’une manière assez agréable. Mathilde, enchantée de la tournure que prenaient les choses, continue de rire, de folâtrer. Palmira ne s’occupe que du retour de milord Sunderland. Sir Abel est sombre, mécontent ; M. de Mircour impatienté. Le chevalier Jones est d’abord étonné, puis il se monte au ton de son ami.

Mathilde demande à sa compagne si son idée de Kesengton dure encore. — Oh ! certainement, je ne pense qu’à celle-là. Ces messieurs nous suivront sans doute.

Mon phaéton est ici entièrement à votre disposition, dit poliment Cramfort : Je l’accepte, milord, répond Mathilde, si vous vous char-