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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 3.djvu/21

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PALMIRA.

côté sont les torts. Il me suffit de vous assurer que madame de Saint-Pollin est la meilleure des femmes. Je vais la voir fréquemment. Depuis mon retour d’Angleterre je lui ai beaucoup parlé de vous, elle brûle de vous connaître. Le nom de la fille de Saint-Ange a réveillé dans son cœur les sentimens fraternels qu’elle avait pour cet homme si intéressant. Je suis persuadé qu’elle se plaira à rendre hommage à sa mémoire, en vous prodiguant ses soins. Permettez-moi de vous l’amener ; elle a des relations à Paris, et pourra vous être utile de la manière la plus convenable.

Palmira le sentait bien ; mais si madame de Saint-Pollin avait quel-