Aller au contenu

Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/163

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


CHAPITRE XLVII.




Palmira goûta quelques jours de repos après ce violent orage ; mais Carloni, au milieu de ses plus piquantes saillies, laissait échapper de douloureux soupirs, et décelait de mille manières un secret et violent chagrin. Quand il l’exprimait de cette façon indirecte, la duchesse lançait un regard d’humeur et de reproche à miss Eveling, qu’elle accusait d’être l’auteur des peines de Carloni.

Palmira, un peu rendue à elle-même, songea bientôt à la triste destinée de Paula, qui attendait, toujours cachée dans une chaumière,