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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/190

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PALMIRA.

m’ont pas avancé d’un seul pas vers mon but… Encore un seul jour, où je vous laisserai agir miladi… Puis…

Une confusion d’idées se présenta à son imagination. Il marcha avec impétuosité près d’une heure, agité de rage, d’amour. Obligé de rentrer à la casetta, grace à sa profonde dissimulation, il fit succéder à ces mouvemens beaucoup de gaieté et d’apparence de contentement. Après le souper, Palmira, qui ne voulait jamais s’en aller avec lui, se retira, et le laissa avec la duchesse. Il en profita pour la conjurer de nouveau d’entreprendre une seconde tentative, osant assurer qu’il était assez heureux de s’appercevoir que l’éloi-