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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/191

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PALMIRA.

gnement de miss Eveling pour lui diminuait sensiblement, et que sans l’espérance qui naissait d’une semblable observation, il ne pourrait supporter la vie. Enfin il dépeignit sa passion avec tant de feu et d’énergie, que la duchesse attendrie promit de tout employer. Demain, lui dit-elle, il me faut la parole de miss Eveling de vous épouser très-incessamment, ou elle est renvoyée de Mont-Fierry ; car je ne doute pas que son éloignement n’opère votre guérison, et je sacrifierais volontiers à votre repos les distractions que cette jeune personne peut me procurer. Carloni se plut à croire que de pareilles menaces détermineraient l’obéissance de Palmira… Ce lendemain, si dé-