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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/192

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PALMIRA.

cisif pour elle, arriva. Miladi lui parla avec plus de force que la première fois, ainsi que cela avait été convenu la veille. On présume bien la réponse qu’elle obtint, et miladi, en venant aux extrémités qu’elle avait méditées, lui déclara que sa bonté lui laissait quatre jours de réflexion, pendant lesquels elle n’entrerait pas à la casetta. Cette époque écoulée, il fallait reparaître la femme de Carloni, ou se préparer à partir. Si vous adoptez ce dernier parti, ajouta-t-elle, pénétrez-vous bien de la pensée que je ne songerais plus à vous sans colère, et que vous auriez tort de vous réclamer du nom de Sunderland… Errez, végétez en Italie, si cela vous convient, plu-