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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/224

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PALMIRA.

tamment ma conduite. Ce fut même par une délicatesse, que l’on peut juger mal-entendue, que j’abandonnai l’Angleterre.

« Différens événemens, tous marqués du sceau du malheur, me conduisirent dans cette maison sous le nom de miss Eveling. La nature, si la loi ne le prononçait pas, me donnait quelque droit à la protection de miladi Sunderland. Sa voix a été muette, je n’en murmurais pas, mais j’en ai gémi souvent…

« Un monstre de scélératesse (je tairai son nom pour qu’il ne soit point livré à d’autre justice qu’à celle de ses remords) a profané l’asile de sa bienfaitrice. Ses viles,