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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/90

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PALMIRA.

me retirai au couvent où je connus cette adorable femme.

Alors, la duchesse se retournant vers Carloni, l’entretint de quelques affaires avec l’abandon de la plus parfaite confiance. Il égaya, dans ses réponses, un sujet naturellement aride et ennuyeux, et ses piquantes saillies arrachèrent plus d’un sourire à miladi Sunderland ; mais bientôt, ramenant la conversation sur miss Eveling, il parla avec éloge de ses nombreux talens. Il était écouté avec assez d’indifférence quand on vint l’avertir qu’un fermier de Mont-Fierry demandait à le voir. Il salua ces dames, et les laissa seules.

La duchesse au même instant pria