Page:Roland Manon - Lettres (1780-1793).djvu/94

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AVERTISSEMENT. mètres de la pejite ville. Le séjour fut de deux mois. Le i a décembre (lettre 8), on était déjà dfc retour à Pans depuis quelque temps. Peu après, Holand fut envoyé en inspection à Sensflî, mais en revint pour passer avec sa femme les files du t" janvier et y retourna aussitôt aprèsiSl. Dès relie apnée 1780 apparaît, dans la correspondance (lettre 5), un ami dont le nom Reviendra bien souvent, François Lanlhenas. Nous lui consacrons notre Appendice L. Disons seulement ici que, né au Puy en 17^5, placé par ses parents dan$ le commerce malgré lui, il s'était lié avec Koland en Italie en 1 77*>. atail tini par obtenir de sa Famille la permission de venir étudier la médecine a Paris, et s'y trouvait déjà en juin ou juillet 1780, logé dans une mansarde tfc? l'Iiôti'l de Lyon, auprès de son ami. C'est également en 1780 que Roland et sa femme, en suivant les cours du Jardin du Roi, entrèrent en relations avec un autre ami, Louis Bosc d'Antic, qui va tenir dans la correspondance une si grande place. Toutefois il n'y apparaîtra^ qu'en t 783. Voir sur lui notre Appendice K.

i1 *Ea itéeembnr 6e la même année {1780) el en janvier 1781, je fus envoyé à Sens popr des objets relatifs à ma par-tio. .. •> tyMém. des Services, ms. 6a43, fol. 3i-4a|.

iI} Le {11 d&embre, Roland signait à Pari», avec le libraire Panckoueie, un traité où U s'engageait k rédiger, pour VEncyclo~ pêdie méthodique, un «Dictionnaire des Arts et Méuirs" [Pop. Bolo*d, ms. 353a. fol. 1 9<}-i3o), dont les trois volumes in-à* pa­rurent de 178a a '79*-4