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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/158

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BEETHOVEN

Et ce bond léger, très doux, (dolce p. <> poco espress.) établit une impression d’entente harmonieuse, après le long tournoi, et ses défis et ses ripostes, — un aceord entre les joueurs. On les voit bientôt qui courent en se tenant par la main (211-220), par rangées de sixtes, le long d’une ligne qui monte jusqu’à la mesure 235[1].

À cet endroit, se reproduit exactement (237-270) le mouvement correspondant de la première partie (49-80), les

  1. Montée continue, de 211 à 220 :
    [partition à transcrire]

    puis, de ce la conquis, comme d’un plateau où il s’établit, l’esprit mesure l’octave au-dessus et, s’essayant à y monter, il se balance sur sou point d’appui :

    [partition à transcrire]

    enfin il y gravit, par degrés, — et, à la fin, il court.

    [partition à transcrire]