Aller au contenu

Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/204

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
194
BEETHOVEN

[partition à transcrire][1]

Pour le lied no III, nous avons quatre esquisses, dont les deux premières semblent conserver la tonalité du lied précédent. Dans la troisième esquisse apparaît le la b, qui, chez Beethoven et dans la musique de son temps, exprime une effusion de la sensibilité, un degré de plus dans le lyrisme, après le sol majeur, où domine le sentiment contemplatif. Et le passage de l’une à l’autre tonalité est une trouvaille d’harmonie, simple et profonde. Mais la mélodie reste insignifiante, jusqu’à la quatrième esquisse, qui découvre le rythme détaché :

[partition à transcrire]
  1. On comparera à cette dernière esquisse le texte définitif. Il n’est pas nécessaire de le reproduire ici.