comment serait le Kyrie, dans « la nouvelle Messe » (in der neuen Messe) ; et on en a retrouvé quelques lambeaux dans un cahier d’esquisses de 1824, entre celles du premier morceau de la Neuvième Symphonie et celles des quatuors op. 127 et 132 L C’est assez glorieusement la situer. Et c’est dire 1. Dans un cahier d’esquisses de 1819-1820 (Nottebohm, II, p. 152), après les premières esquisses pour YAgnus et la remarque : « Doua jiobis darstellend den innern u. aussern Frieden », Beethoven note : — « Das Kyrie in der Neuen Messe bloss mit blasenden Instrumenten u. Orgel. » Dans un cahier de 1824 (Nottebohm, II, p. 541 et suiv.), après une esquisse du premier morceau de la Neuvième, des indications pour un morceau de clavier à quatre mains, des exercices d’harmonio et de basse générale, on trouve : IrVjtiSe umA rr1r=tr ?— ;— ; , . :■ / ! L h i i i i i i : J— n b-"’ — «—i—r s— » 7 rM MM _J L ü [ 3 i
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h*.- ’~9~’ * Ma- I -AlVf H —r—J i— b=4=--E= : - ! — Suivent un travail pour 1’ « Opferlied », des esquisses pour une ouverture sur le nom de Bach, une esquisse pour le « Bundeslied », — enfin ce nouvel essai pour la Troisième Messe : i ^ i . i .^ ii | } « f i ! 1 i ... I 1 S-1 ! •ij ; : i-t- ; i ; . . s r ; t l i—,—f—i p5* i ® VTTq i i 9 5 J i ’-i i. —v—r u a à-A •- V Wj m i j, Viennent après, des esquisses pour les quatuors op. 127 et 132, et un thème de^fugue, où on a pu voir l’amorce du thème de la fuguequatuor op. 133.
