Aller au contenu

Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/390

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
376
BEETHOVEN

t/urdj b’eleison des voix s’achève enfin en une’ sorte d’amen d’acceptation et de confiance : « ■ZH- c P— -& ’ 3 .u. -M-r - j 0 K » * ’ Et le même motif de l’eleison, mais pacifié, forme la marche de l’orchestre (flûtes, hautbois, bassons et cors), sur laquelle les derniers appels du Kyrie, sur une même note, vont s’éteignant, tandis que l’orgue, qui descend les marchas de deux octaves, et que les cordes semblent redire T « Ainsi-soit-il ! »