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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/407

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LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

£.Ê.W0 V_ Zfficy.ri —tM—r~igV’-'iR ~fri ^rqr F O) -r ?— ; H- =t= ! 0 ^ Or U- Kg, ‘jof.’iu2.1 - ^ Beethoven en a souligné le sens, en inscrivant à côté du commencement du Credo : « Gott iiber ailes — Gott liât mich nie verlassen. » (Dieu au-dessus de tout — Dieu ne m’a jamais abandonné. ) r. ’ H UT TS -f-fT .J^ VI LL r A 1 ITa • lL ur i L,. :_r ?rrri :._A- r -i-T— —«—-i—-4== ?= A ’ . , . , C - «O cAc . lo fcc. dû llt-M d**M.v* ■ 1 » " En revanche, Thayer note (IV, 342), d’après un livre de conversations de 1820, cet autre motif, qui est franchement ascendant, cl tout à fait dans l’esprit héroïque de maint motif des symphonies : —f= ô * "j ;—g- ; s ~—“*~i AT f—1 Puis, Beethoven a coupé les quatre premières mesures de fanfare triomphale, et il a commencé par la cinquième, où s’affirme seulement le caractère de volonté et de « F este Bure ».