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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/437

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LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

X^iryzSZ^~"tf* <ferüv^•|wï c , ;■ rt&t n^v- T 't>T ] ■ t T r-f- f -£— !— ! En vérité, ce n’est autre que le Urmotiv du Kyrie, — le germe mystérieux de toute la Messe : La phrase d’appel et d’espérance descend, de degré en degré, jusqu’aux profondeurs où l’âme s’abîme, sur un accord troublant de septième diminuée, qui, après une longue attente, se résout en une douce clarté : /