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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/447

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LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

On remarquera la noble tenue de ce morceau, où Beethoven a su dominer l’emportement de ses élans dans la douleur comme dans la joie ; on n’y trouve même pas les violents contrastes qui secouaient le « Qui toilis » et le premier « Miserere ». L’Agnus de deuil avance, d’un pas majestueux, comme un cortège. Point d’éclats de voix. La première partie reste dans le piano ; la troisième, dans le p. et le pp., à peine soulevés par un fugitif cresc. Seule, la partie du milieu, la plus brève, monte au ff., avec la plainte poignante de la voix d’alto, (cette voix que Beethoven n’avait pas prévue, dans ses premières esquisses de YAgnus, et dont i

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