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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/504

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BEETHOVEN

rares et brefs éclats, sf. /., amène des froissements de notes blessants : d’âpres frictions, et d’étroits corps-à-corps : La voix d’en haut s’y arrache, par bonds d’arpèges essoufflés, et elle cherche à s’évader en notes staccato, vers les régions les plus élevées. Mais la voix d’en bas, qui accentue au contraire sa lourde descente, avec des trilles énergiques, tient l’autre par un lien et la ramène violemment à son plan :