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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/550

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BEETHOVEN

n.-1. »" On voit donc que, dans la pensée de Beethoven, c’est la dominante, le sol répété — initial et conclusif par deux fois —, qui jouait le rôle déterminant dans toute la marche de l’invention. Et en vérité, comme l’a bien montré Schenker, même dans le texte définitif il reste le pôle d’attraction, vers leauel tout le mouvement incline et tombe, îujÈTûztH : quand il n’est pas la base ou la cime de l’élan : ■ - - o *

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W-rf Après le contraste harmonique en la mineur de la deuxième moitié de YArietta, celle-ci ne s’achève qu’après avoir retrouvé et affirmé, d’une octave à l’autre, le sol, qui est, sans jeu de mots, le soleil caché de tout le morceau : • I fie. -TF / • . ï i i Têmr-rn üjtrifc’ T TZZTU LJ in ZT ’ i —f 1 La mélodie est donc établie, d’emblée, à cet étage de dominante de la plus calme tonalité, en ut majeur, d’où