Page:Rolland Clerambault.djvu/146

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Et le souffle dit : « Je veux ». Et soutenu par eux, il cherche à se dégager. Le regard, le souffle, c’est nous, c’est l’homme libre.

— Le regard me suffit, dit doucement Perrotin.

Clerambault répondit :

— Si je n’ai le souffle, je meurs.