M V R E T.
“and i‘apemi.)(hl_gnd il confi dere les excellantcs beautés de G: damefi l dxr,qu'il a honte 8: re ret de ne. les pouuoir dinnemenrwdecrire : con’pifl änt ien, qu'il faudraitfenircmu en àrler mieul‘.'Mail la force de {on Amour elt 6 gtan e , qu'elle le contraint d‘entre— prendre plus qu'nl ne pennl’uaînfi 'dli‘flflfl ’è fi ‘en cette par: il ne s‘aquire enricrement de fou denfi 'jl ne s'en faut pal prendre a lui , ains a fou defi in , qu‘nvbnlu :— drefl 'er en fi haut lieu, que la force de l'es ecn's nfi par auc'unemëtazeindre. L‘orfi le'du charim.) Lepqu le. quel refl èngble a l'or fi lé p: les Gracçs. Faute Jinslc gruællconfcfl 'e bien, qu'lli'a de]: faute en luiemaà que utefois tellefauteefl ' diñue de igrâce , d'autant qu'elle ne procede pas de mamaîs v‘ou oir. D: m be’tlo re’: le: humeur: tra'tfl lvu.) Car i'entrepren de le! dun- re:& aptes n’en puis venin beur.
Ciel, air et vents, plains et monts découverts,
Tertres vineux et forêts verdoyantes,
Rivages torts et sources ondoyantes,
Taillis rasés et vous bocages verts,
Antres moussus à demi-front ouverts,
Prés, boutons, fleurs et herbes roussoyantes,
Vallons bossus et plages blondoyantes,
Et vous rochers, les hôtes de mes vers,
Puis qu'au partir, rongé de soin et d'ire,
A ce bel oeil Adieu je n'ai su dire,
Qui près et loin me détient en émoi,
Je vous supplie, Ciel, air, vents, monts et plaines,
Taillis, forêts, rivages et fontaines,
Antres, prés, fleurs, dites-le-lui pour moi.