M V R ET. . 4 bagne. 'nnx.) Contraint quelque fois de prendré con é de fa damc,& n'aianr pasle pouuoirde luidire Adieu,“ priegoute‘s les chofcgqu’il voit , de le lui dire tu l'on nom. Herbe: roujàianm.) Les Latins dirent; ‘ ofcidc ,ou rnrnlmn. anu blondnimnl) Couueuei de blés dcfi a meurs.
Voiant les yeus de toi, Maitresse elüe
A qui j'ai dit, seule à mon cœur tu plais,
D'un si dous fruit mon ame je repais,
Que plus en mange, & plus en est goulüe.
Amour qui seul les bons espris englüe,
Et qui ne daigne ailleurs perdre ses trais,
M'alege tant du moindre de tes rais,
Qu'il m'a du cœur toute peine tolüe.
Non, ce n'est point une peine qu'aimer :
C'est un beau mal, & son feu dous-amer
Plus doucement, qu'amerement nous brule.
O moi deus fois, voire trois bienheureus,
S'Amour m'occit, & si avec Tibulle
J'erre la bas sous le bois amoureus.
M VR ET. ‘ 70"an tuyau.) Ilprend fi grand plaifi r a voirlei
yeus de fi : da'me, qu’il nonne douce tout: la eine, qu'llfoufi 'c cn aimant: a: dit mefi ne,qu’il I'e ucn'dn trop heureus, fi Amour efi lcaufe .de l'a mon. .4 gui rai 1158m1" mm nÿlaüJPn‘nl d'Ouide,
Eligepu' dira,” mibifnltphnr. Ainfi ll’âtrlîr ue, J "A,
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