Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/236

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EDJWM.)QIElque fois efcrimîr d'me epêe ra- bamef‍il fe blef‍l'a blé fort au brandon: il faim que quel— que Demô,c'clt a due quelque mauuai: An e lui lan— ça ce coup.lncontinët fa dame acourut vers ui pou: le penfer. Mais xl_dir , que f‍i elle auoit enuie de lui don— ner uerifon, elle deuroit lullôt fe foncier de guen'r la p aie qu'il :1 dans le par ond du cœur. Muf‍i'e. Non tranchant.Moull'e.ef‍i ce que le: Latins dirent, H06“. p'wu anneD’vne epée.

Toujours des bois la sime n'est chargée
Sous les toisons d'un hyver éternel,
Toujours des Dieu le foudre criminel
Ne darde en bas sa menace enragée.

Toujours les vens, toujours la mer Egée
Ne gronde pas d'un orage cruel:
Mais de la dent d'un soin continuel,
Toujours, toujours ma vie est outragée

Plus je me force à le voir tuer
Plus il renait pour mieus s'esvertüer
De feconder une guerre en moimesme

O fort Thebain, si ta serve vertu
Avoir encor ce monstre combatu
Ce seroit bien de tes faits le tresieme.

M V R E T. . Tou'om_«1u boü.)ll dit, q toute: chofes ont quelque mtermif‍inon,fon {on tourment, qui ne le hif‍l'e iamais en repos. en. le: toif‍im d'1» 53m. Sou: les neges. amer Bgie. Œj eft touteth la plus tempef‍ieuf‍i: menqlmn fâche“; couine temoigne Denyguf. au“. mograf‍ie. ' ‘ ‘ .

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