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Page:Ronsard - Les Amours, 1553.djvu/237

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Or'l 71:; m n'a? Ëvah‘yf‍lq 35,11" 59"10: YJôOmagpt'æa-r frigo: f‍ige; Maf‍ia-w .

Defu'omln ne 31mn en mncf‍iu. )De faire qu'vne erre naif‍l'e perpenlellementdedm moi. ofm Tin— 43m.! l s’adrelfe n Hercule,qui purge. h terre de mon- f‍lrca:& digquu‘il pouuoircombnuehforce du foin, qui lui ronge l‘efprimn rroitbioncéœneh pour le rref‍iâme de [ès beaux airs. Taferuvmal’uœqpe tout cc que E: Hercule ,‘fu: en obextfan: n Euryf‍ihée. Le mf‍ilm. Parce qu’on nôbre doute princi malabar;

d‘Hcrcule,combien qu’il i en a beauconp autreI." ' L.


Je veus brûler pour m'en voler au cieus,
Tout l'imparfait de cette écorce humaine,
M’éternisant, comme le fis d'Alcméne,
Qui tout en feu s'assit entre les Dieus.

Ja mon esprit chatouillé de son mieus,
Dedans ma chair, rebelle se promeine,
Et ja le bois de sa victime ameine
Pour s'enflamer aus raisons de tes yeus.

O saint brazier, ô feu chastement beau,
Las ! brûle moi d'un si chaste flambeau,
Qu'abandonnant ma dépouille conüe,

Nét libre, & nu, ie vole d'un plein saut,
Iusques au ciel pour adorer la haut,
L'autre beauté dont la tiene est venüe.


M V R E T.

l: veut Lunch)“ dit , qu‘il ef‍l contant de f: bruller au: raions qui fonen: des yeus de fa dameuf‍in que fou clin it fepané du cors s‘en vole iufqucs nu ciel, pour cô- templcr,& adorer hbeauré diuine,de laquellelef‍l vc:

u. y.