, M V R E'T.
Enulmlroir.) Ce Sonet 8c le pmedent apartîen'ä hem à vne mefmes. Comma 5‘ cbln’wxih, au quais- me de l'Eneide, ‘
Son chef est d'or, son front est un tableau,
Où je voi peint le gain de mon dommage,
Belle est sa main, qui me fait devant l'age
Changer de teint, de cheveus & de peau.
Belle est sa bouche, & son soleil jumeau,
De neige et feu s'embellit son visage,
Pour qui Juppin reprendroit le plumage,
Ore d'un Cyne, or le poil d'un Toreau.
Dous est son ris, qui la Meduse mesme
Endurciroit en quelque roche blesme,
Vengeant d'un coup cent mile cruautés,
Mais tout ainsi que le Soleil efface
Les moindres feus : ainsi ma foi surpasse
Le plus parfait de toutes ses beautés.
M V R E T
d‘un abeftjl d’or.) I es beautés de l'a dame lbllt grau-f denmain la foi qui efl en lniJe; lùrpafl 'e d'autant, com me le Soleil les étoiler. pnd’w cyan. Comme pour Lede,de laquelle la fableefl dectme amplement dan s le troifi ême des Odes. Œhfi oü d’unir“, Comme pour Europe,de laquelle voile liuret de Baifi Main/ë, Yoi ce que i'ai dit fur le Sonet. {m que mon ail.
Toujours l'erreur, qui seduit les Menades,
Ne deçoit pas leurs esprits étonnés,
Toujours au son des cornets entonnés,