Les mons Troiens ne foulent de gambades.
Toujours le Dieu des vineuses Thyades
N'affolle pas leurs cœurs epoinçonnés,
Et quelque fois leurs cerveaus forcenés
Cessent leur rage et ne sont plus malades.
Le Corybante a quelque fois repos,
Et le Curete aus piés armés, dispos,
Ne sent tousjours le Tan de sa deesse:
Mais la fureur de celle qui me joint,
En patience une heure ne me laisse,
Et de ses yeux toujours le cœur me point.
M V R .
Tnm'om l'erreur.) Les minimes de Bacchus , 8: dé Cybele,lors qu'ils facrifi oien t,étoient épris d'vne fu— reur. qui les faifoit courir, crier, fauteler, comme bon du fens : mais cette fureur ne les teuoit pas touiourr. Mais le poète dit , uelafureur que (à dame lui liure, ne le laifl 'e pas vne cure en repos.M4n4du.PrcRref-. fes de Bacchus ainfi dittes du verbe pm’HQfl I-IÎ fi nifi e efl re hors du fem. Du mm. Au: facrifi ces de Bac—- chus, on ioiîoit de cornets,de trompettes.dc Bures, de tabourins,tout i'vn parmi fi utrcnatulle,
îlmgnbamalij pmm'a tympampalmü,
.4»: tenu" tenue: tinnirxu ne rieàanr,
Muln' ramifi uù effl abdnr rama bombl'l,’
anémique bonibilifl rürbu tibia cm. Thñadn.)Ainfi fe nomment auûi le! prefi refl 'er dé Bac: mJequd entre fes autres nôs eit appellé Thyo— née : on âcaufe de fa mer: Thyone, ou parce u'ii in— fl irua‘ premier les fi crifi ce:,ou parce ne le ver el'mi en Grec fi nifi e quelque fois auoirl'e prit hors de foi. LeCoqfi inu. _Corybante8 étoiê: nommés le: pente: de Cybeie,du gerbe 3‘55”. qui fi nifi oi: acher,parce