Page:Roussel - La Doublure, 1897.djvu/109

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Allongé pour qu’en bas son bout recourbe touche
À son menton crochu lui-même, si la bouche
En grinçant n’avait pas un suffisant écart.
Sous des sourcils qui font des pointes, son regard
Terne, dans le milieu, montre une tache bleue
À côté d’un point noir. Par derrière une queue
En étoffe traînant par terre sous son corps
Fait beaucoup de détours et va pendre en dehors
Du char qui maintenant ayant tourné s’éloigne.

Un pierrot saute après la queue ; il ne l’empoigne
Que du bout des doigts, puis, retombe sans l’avoir
Descendue un peu plus.
                                           


                                           
À gauche l’on peut voir
De la place à présent, où Roberte qui semble