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rendre mon sabre ; l’Empereur me donne un des siens. — Il m’invite à envoyer mon portrait à ma mère, et promet de la faire venir à Paris. — Mes campagnes. — L’Empereur consent à mon mariage. — Campagne d’Austerlitz. — Mariage du Vice-Roi d’Italie. — L’Empereur signe à mon contrat et paie les frais de ma noce. — Son couronnement à Milan. — Je réclame l’arriéré de ma solde de Mamelouck et obtiens mon congé de ce corps. — Un cadeau de l’Empereur. — Danger par lui couru à Iéna. — J’apprends à Pultusk que je suis père. — Eylau. — M. de Tournon. — L’Empereur et le maréchal Ney. — Friedland. — Entrevue de Tilsitt. — La reine de Prusse et sa coiffure « à la Roustam ». — Ma présentation au tsar Alexandre. — Fêtes de Tilsitt. — Dresde. — Mon retour à Paris dans la voiture de l’Empereur — Surprise agréable que ma femme me ménageait 
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Corvisart, et l’Empereur : la canne de Jean-Jacques Rousseau. — Bourrienne jugé par Napoléon. — Sa tendresse pour le roi de Rome. — Sa dureté pour le général Guyot. — Napoléon intime. — Je fais pensionner le piqueur Lavigne. — Le docteur Lanefranque. — Corvisart à Schœnbrunn. — Les pistolets de l’Empereur. — Son voyage à Venise. — Passage du Mont-Cenis. — Il décachette les lettres de ma femme : avantage que son indiscrétion me procure. — Les cygnes de la Malmaison. — Je manque me noyer dans l’étang de Saint-Cucufa. — Le jeu de l’Empereur. — Napoléon à Fontainebleau.