Aller au contenu

Page:Séduction, jeunes amours, 1935.djvu/136

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
114

chairs délicates, encore toutes frémissantes et regarda avidement les secrètes beautés de son amie. Claire, gentiment, se laissa faire et, à son tour, voulut connaître son amant ; elle prit en main l’instrument qui venait de la rendre femme et le regarda curieusement, elle caressa les boules rondelettes qu’elle roulait entre ses doigts. Le membre viril surtout l’intéressa. Elle admira la finesse des petites veines qui le sillonnaient, la souplesse de la peau qu’elle fit glisser, découvrant le gland et la fente qui le termine. Sous ces attouchements, l’instrument d’amour s’était bientôt raidi à nouveau et dressait fièrement sa tête rubiconde prête à l’amoureux combat. Ravie et excitée, la jeune fille voulut, à nouveau, se sentir pénétrer par ce joli bijou, et malgré la cuisson légère qu’elle ressentait encore, elle attira Claude dans ses bras, lui disant :

— Oh ! recommençons, veux-tu ?

Pour toute réponse, Claude la serra sur son cœur et la baisa éperdument sur la bouche, puis, changeant de position, il attira Claire sur lui après lui avoir enlevé robe et jupon qui le gênaient.

En docile élève, Claire se prêta à sa fantaisie. Sur ses indications, elle se mit à cheval au-dessus de lui, les jambes repliées de chaque côté ; doucement, Claude introduisit son membre en l’étroite