Page:Ségur - La soeur de Gribouille, Hachette, 1886.djvu/212

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« Allons ! la voilà au beau milieu du salon à présent !… C’est pour se faire mieux voir, pour me faire encore gronder !… Ah ! mais !… Je ne vais pas me laisser dominer par une cage, moi ! Je vais la rouler avec mon balai jusque sous le rideau ; lorsque Caroline sera revenue, je la prierai de la ramasser, puisque moi je suis lié par ma parole… J’ai juré et rejuré de ne toucher à rien… »



Émilie, qui est rentrée avec son frère Georges pendant que Gribouille fait rouler la cage à coups