Page:Ségur - La soeur de Gribouille, Hachette, 1886.djvu/221

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« Va-t’en ! et ne recommence plus ; tu vois à présent que tu n’es pas le plus fort ! »

Jacquot ne bougeait pas.

« Tiens ! le voilà qui fait le mort, à présent ! Veux-tu t’en aller, méchante bête ! »

Gribouille lui donne un coup de pied.


Te voilà donc, mauvaise langue.

« Eh bien ! qu’a-t-il donc ? qu’est-ce qui lui prend ! Il ne bouge pas !… Est-ce que… ? Hum ! hum ! est-ce que j’aurais serré trop fort ?… C’est qu’il ne bouge pas plus qu’un mort. (Gribouille se met à genoux par terre et crie dans l’oreille du perroquet.) Voyons, Jacquot !… pas de bêtises !… Nous serons amis, je t’assure ! Jacquot ! lève la tête !… Puisque je te dis qu’il n’y a plus de