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le brigadier.
Fais comme tu voudras, mon ami ; je n’ai pas le courage de m’opposer à ce que tu désires si vivement.
« Je veille pour mon devoir », dit le brigadier. (Page 341)
gribouille.
Merci, brigadier ; je vois de plus en plus que vous êtes mon vrai ami ; vous me laissez faire seulement quand il faut ; et vous faites bien, car j’ai dans le cœur ou dans l’esprit — je ne sais pas distinguer — quelque