pour Mlle Sophie de Réan dite Fichini, et pour Mlle Marguerite de Rosbourg.
Mais vous en aviez tant !
J’ai tout vendu, ma fille.
Oh ! là là ! oh ! là là ! mes colliers, mes bracelets, mes chaînes, mes broches je n’aurai plus rien ! je serai donc comme une pauvresse ?
J’en achèterai d’autres, ma fille. J’ai besoin d’argent pour payer mes fournisseurs qui menacent. Je te permets de vendre aussi toute ta défroque ; tu feras ce que tu voudras de l’argent que tu en auras. Mais, pardon, mesdames, dit-elle en se tournant vers ces dames qui riaient sous cape ; je vous ennuie peut-être avec ces détails d’intérieur ?
— Du tout, madame, répondit Mme de Fleurville en riant : cela nous amuse beaucoup au contraire.
Vous comprenez, madame, que notre visite étant une visite d’affaires, il faut battre le fer pendant qu’il est chaud et faire le plus d’ouvrage possible. C’est pourquoi je vous offrirais encore