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le monde lunaire

portions qu’exigeait le nombre des membres de sa famille ou sa propre fantaisie.

Il n’y avait pas là, comme sur la Terre, de ces ruches sans lumiére et sans air, formées d’étages superposés, où s’entassent de
Le train ainsi formé… (p. 115).
nombreuses familles étrangères les unes aux autres. Chaque famille avait sa demeure et tous se plaisaient à l’orner et à la décorer avec un goût d’une exquise variété.

Les rues étaient larges et spacieuses, dallées d’une sorte de matière semblable au verre dont les coloris divers, disposés avec